Godzilla
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- maximuslaurent
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Re: Godzilla
Mar 29 Avr 2014 - 18:26
hooo quand meme pacific rim etait plutot sympa ,pas u. chef d'oeuvre mais super bien maitrisé ,moi je l'ai trouver vraiment bien
apres pour ce godzilla ,je le sens plutot bien aussi
apres pour ce godzilla ,je le sens plutot bien aussi
- Max59
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Re: Godzilla
Mar 29 Avr 2014 - 19:31
A mon avis celui la va marquer l'année 2014
- InvitéInvité
Re: Godzilla
Mar 29 Avr 2014 - 23:50
Chaque BA donne vraiment envie d'aller le voir celui là.
Il semble en plus que le film s'annonce comme visuellement très beau, avec une histoire solide, et de l'action.
Y a plus qu'à attendre de voir le résultat final :)
Il semble en plus que le film s'annonce comme visuellement très beau, avec une histoire solide, et de l'action.
Y a plus qu'à attendre de voir le résultat final :)
- InvitéInvité
Re: Godzilla
Mer 30 Avr 2014 - 23:19
je pense en effet que ce film annonce quelque chose d'assez rare
- shinra
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Re: Godzilla
Jeu 1 Mai 2014 - 0:50
Je suis en contact avec la maison d'édition de l'artbook du film, et ils ne peuvent pas en envoyer avant la sortie du film!!
- GHouse
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Re: Godzilla
Jeu 1 Mai 2014 - 13:39
shinra a écrit:Je suis en contact avec la maison d'édition de l'artbook du film, et ils ne peuvent pas en envoyer avant la sortie du film!!
Tu parles de l'artbook VO? Si oui penses-tu qu'une maison d'édition en France traduira ce livre?
- shinra
- Nombre de messages : 2473
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Re: Godzilla
Jeu 1 Mai 2014 - 14:20
Oui celle en VO , c'est Insight edition.
Pour l'éditeur français, j'ai abandonné, je lui ai téléphoné plusiuers fois, ils sont intéréssé par mon site, ils me promettent de me donner des infos... puis rien.
en plus je ne suis pas chiant, comme j'habite au Québec, je leur demande pas d'envoyer des livres. Bref ils me saoule un max.
pas d'info sur une sortie en FR
Pour l'éditeur français, j'ai abandonné, je lui ai téléphoné plusiuers fois, ils sont intéréssé par mon site, ils me promettent de me donner des infos... puis rien.
en plus je ne suis pas chiant, comme j'habite au Québec, je leur demande pas d'envoyer des livres. Bref ils me saoule un max.
pas d'info sur une sortie en FR
- GHouse
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Re: Godzilla
Jeu 1 Mai 2014 - 17:18
L'éditeur français ce ne serait pas huginn&muninn?
- mister freeze
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Date d'inscription : 28/01/2007
Re: Godzilla
Dim 4 Mai 2014 - 19:16
Il sort en français ou pas cet Art book ??
- InvitéInvité
Re: Godzilla
Mar 6 Mai 2014 - 21:10
Ce film ne va plus tarder la campagne de promo commence un peu partout.
- shinra
- Nombre de messages : 2473
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Re: Godzilla
Dim 11 Mai 2014 - 5:42
De très très bonnes critiques sur IMDB avec une note de 9.1/10 avec 2400 votant
pas mal non!?
pas mal non!?
Re: Godzilla
Dim 11 Mai 2014 - 16:52
4 étoiles pour Godzilla sur Ecran Large :
L'attente qui précède Godzilla est à la hauteur de l'évènement. Nanti d'un jeune réalisateur talentueux, accompagné d'un casting éclectique et précédé d'une promotion affolante, le film s'avance impérialement sur un chemin jonché de mines. Emblème d'un cinéma aussi adulé que moqué, figure légendaire d'une saga dont le grand public ne connaît finalement qu'une poignée de clichés, il fallait un miracle pour que l'expérience se différencie notablement des salves continues de blockbusters et de leurs vagues d'effets numériques. Plus qu'un miracle, c'est à la confirmation du talent de Gareth Edwards que nous assistons, l'avènement d'un artiste dont le talent comme la sincérité risquent de terrasser un public qui n'en demandait pas tant.
Premier constat, Gareth Edwards s'inspire avec intelligence des Dents de la mer, décidant de retarder au maximum le dévoilement de ses titans. Et une fois les créatures en action, le metteur en scène s'échine à quasiment toujours conserver un point de vue ainsi qu'une échelle humaine sur les situations apocalyptiques qu'il décrit. Le résultat est littéralement tétanisant, nous permet de retrouver toute la puissance viscérale et symbolique de l'œuvre originale, tout en conférant à Godzilla une aura magnétique, qui irradie chaque scène, quand bien même le monstre en est absent.
De même qu'il retient les monstres jusqu'à son climax tellurique, Edwards aborde le genre auquel appartient Godzilla (le blockbuster de destruction massive) avec une intelligence et une dignité déjà présents dans Monsters, son précédent film, et qui fait cruellement défaut au cinéma hollywoodien contemporain. Point de pornographie du chaos ici, ni de massacre de foules numérisées. L'artiste respecte trop la gravité des évènements qu'il dépeint pour traiter cyniquement du cataclysme qu'il filme. Le métrage ne s'attarde pas complaisamment sur les immeubles détruits, ne jouit pas de l'horreur et cherche au contraire à nous la faire ressentir de plein fouet. La mort n'est pas reléguée au hors champ, menace réellement les protagonistes, se révèle parfois saisissante alors que la caméra s'attarde sur un homme pulvérisé, balayé sans sommation par le Roi des monstres.
Un autre point fort du film est sa gestion des personnages. Si l'œuvre ne prétend pas révolutionner les canons du genre, elle les travaille avec soin. À nouveau, la comparaison avec Pacific RIm est éclairante, nulle trace de side kick indigne dans les parages, tous les rôles se voient conférés une chair et une humanité palpable, à l'exception peut-être d'un Ken Watanabe engoncé dans un rôle en forme d'hommage au Godzilla originel. En revanche, la destinée de la famille Brody s'avère un délicieux mélange de classicisme et de rigueur dramatique. Aaron-Taylor Johnson, tout de fragilité et de colère mêlée est à ce titre un parfait premier rôle, dont la relation avec la Bête devrait faire verser une petite larme aux affiocionados de Miyazaki.
S'il est impressionnant en diable, Godzilla n'oublie heureusement pas de nous divertir et se rappelle que les enfants que nous étions étaient aussi excités qu'effrayés par les créatures qu'ils découvraient à l'écran. Edwards décide de réserver toute sa puissance de feu pour un climax délirant en forme de choc des titans d'une ampleur tout simplement jamais vue au cinéma. L'angoisse disparaît alors au profit d'une euphorie juvénile, dont la maîtrise révèle un art de la mise en scène hallucinant, à mille lieues des tentations régressives de Pacific Rim. Après avoir joué deux heures durant d'un rythme endiablé avec nos émotions les plus fortes, le metteur en scène clôt son récit avec un panache hors du commun, qui lui permet de synthétiser instantanément toutes les influences et aspirations du film. Et Godzilla d'imprimer nos rétines en un plan final dévastateur, où se superposent le monstre, l'icône, le vengeur et le protecteur quasi-mystique d'une Terre menacée par une humanité inconséquente.
EN BREF : On attendait beaucoup de Godzilla et sans doute pas encore assez, tant le film de Gareth Edwards ringardise instantanément la concurrence, tout en s'imposant comme un bouleversant hommage à tout un pan du cinéma populaire.
http://www.ecranlarge.com/movie_review-read-31516-206741.php
Critique ultra élogieuse!
L'attente qui précède Godzilla est à la hauteur de l'évènement. Nanti d'un jeune réalisateur talentueux, accompagné d'un casting éclectique et précédé d'une promotion affolante, le film s'avance impérialement sur un chemin jonché de mines. Emblème d'un cinéma aussi adulé que moqué, figure légendaire d'une saga dont le grand public ne connaît finalement qu'une poignée de clichés, il fallait un miracle pour que l'expérience se différencie notablement des salves continues de blockbusters et de leurs vagues d'effets numériques. Plus qu'un miracle, c'est à la confirmation du talent de Gareth Edwards que nous assistons, l'avènement d'un artiste dont le talent comme la sincérité risquent de terrasser un public qui n'en demandait pas tant.
Premier constat, Gareth Edwards s'inspire avec intelligence des Dents de la mer, décidant de retarder au maximum le dévoilement de ses titans. Et une fois les créatures en action, le metteur en scène s'échine à quasiment toujours conserver un point de vue ainsi qu'une échelle humaine sur les situations apocalyptiques qu'il décrit. Le résultat est littéralement tétanisant, nous permet de retrouver toute la puissance viscérale et symbolique de l'œuvre originale, tout en conférant à Godzilla une aura magnétique, qui irradie chaque scène, quand bien même le monstre en est absent.
De même qu'il retient les monstres jusqu'à son climax tellurique, Edwards aborde le genre auquel appartient Godzilla (le blockbuster de destruction massive) avec une intelligence et une dignité déjà présents dans Monsters, son précédent film, et qui fait cruellement défaut au cinéma hollywoodien contemporain. Point de pornographie du chaos ici, ni de massacre de foules numérisées. L'artiste respecte trop la gravité des évènements qu'il dépeint pour traiter cyniquement du cataclysme qu'il filme. Le métrage ne s'attarde pas complaisamment sur les immeubles détruits, ne jouit pas de l'horreur et cherche au contraire à nous la faire ressentir de plein fouet. La mort n'est pas reléguée au hors champ, menace réellement les protagonistes, se révèle parfois saisissante alors que la caméra s'attarde sur un homme pulvérisé, balayé sans sommation par le Roi des monstres.
Un autre point fort du film est sa gestion des personnages. Si l'œuvre ne prétend pas révolutionner les canons du genre, elle les travaille avec soin. À nouveau, la comparaison avec Pacific RIm est éclairante, nulle trace de side kick indigne dans les parages, tous les rôles se voient conférés une chair et une humanité palpable, à l'exception peut-être d'un Ken Watanabe engoncé dans un rôle en forme d'hommage au Godzilla originel. En revanche, la destinée de la famille Brody s'avère un délicieux mélange de classicisme et de rigueur dramatique. Aaron-Taylor Johnson, tout de fragilité et de colère mêlée est à ce titre un parfait premier rôle, dont la relation avec la Bête devrait faire verser une petite larme aux affiocionados de Miyazaki.
S'il est impressionnant en diable, Godzilla n'oublie heureusement pas de nous divertir et se rappelle que les enfants que nous étions étaient aussi excités qu'effrayés par les créatures qu'ils découvraient à l'écran. Edwards décide de réserver toute sa puissance de feu pour un climax délirant en forme de choc des titans d'une ampleur tout simplement jamais vue au cinéma. L'angoisse disparaît alors au profit d'une euphorie juvénile, dont la maîtrise révèle un art de la mise en scène hallucinant, à mille lieues des tentations régressives de Pacific Rim. Après avoir joué deux heures durant d'un rythme endiablé avec nos émotions les plus fortes, le metteur en scène clôt son récit avec un panache hors du commun, qui lui permet de synthétiser instantanément toutes les influences et aspirations du film. Et Godzilla d'imprimer nos rétines en un plan final dévastateur, où se superposent le monstre, l'icône, le vengeur et le protecteur quasi-mystique d'une Terre menacée par une humanité inconséquente.
EN BREF : On attendait beaucoup de Godzilla et sans doute pas encore assez, tant le film de Gareth Edwards ringardise instantanément la concurrence, tout en s'imposant comme un bouleversant hommage à tout un pan du cinéma populaire.
http://www.ecranlarge.com/movie_review-read-31516-206741.php
Critique ultra élogieuse!
- Batmax
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Age : 31
Localisation : Dans mon lit
Date d'inscription : 01/05/2013
Re: Godzilla
Lun 12 Mai 2014 - 22:03
J'y vais samedi
Bordel vivement j'en peux plus
Bordel vivement j'en peux plus
- Spectral
- Nombre de messages : 14813
Age : 112
Localisation : Stark Industries
Date d'inscription : 07/01/2006
Re: Godzilla
Mar 13 Mai 2014 - 19:56
Ah ouais vivement.
Re: Godzilla
Mar 13 Mai 2014 - 23:32
Je viens de sortir de l'avant première Franchement très très sympa
Le film est très bon et très tranché Il vaut bien un 7.5/10! Un très bon moment de cinéma redorant le blazon du roi des monstres!
Je vous le conseil, il vaut franchement le détour
Le film est très bon et très tranché Il vaut bien un 7.5/10! Un très bon moment de cinéma redorant le blazon du roi des monstres!
Je vous le conseil, il vaut franchement le détour
- InvitéInvité
Re: Godzilla
Mer 14 Mai 2014 - 8:45
Pour ceux qui l'ont vu, est ce que je peux y emmener mon fils de 6ans???
Re: Godzilla
Mer 14 Mai 2014 - 15:56
Enorme, jubilatoire un vrai film de monstres !
On voit que le film a été fait par un passionné, un amoureux du monstre
les combats entres Godzi et les 2 autres creatures, que j'ai cru que les SFX ont été fait à l'ancienne, avec le gars dans le costume !
Un casting parfait, une excellente BO que je ne peux vous conseiller et un artisan qui a fait du bon boulot !
Bref un bon film où l'on passe un excellent moment !
Merci Mr Gareth !!
Note :9,5/10
On voit que le film a été fait par un passionné, un amoureux du monstre
les combats entres Godzi et les 2 autres creatures, que j'ai cru que les SFX ont été fait à l'ancienne, avec le gars dans le costume !
Un casting parfait, une excellente BO que je ne peux vous conseiller et un artisan qui a fait du bon boulot !
Bref un bon film où l'on passe un excellent moment !
Merci Mr Gareth !!
Note :9,5/10
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