The Tree of life
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Sarlacc
Pendemonium
petimax
rogerbravo
8 participants
- InvitéInvité
The Tree of life
Lun 14 Mar 2011 - 15:33
Salut Salut,
j'viens de découvrir ce trailer aujourd'hui qui m'a littéralement laissé sur le cul !! Respire le chef d'oeuvre à plein nez ! Avec Brad Pitt et Sean Penn ! Vous en pensez quoi ? :
j'viens de découvrir ce trailer aujourd'hui qui m'a littéralement laissé sur le cul !! Respire le chef d'oeuvre à plein nez ! Avec Brad Pitt et Sean Penn ! Vous en pensez quoi ? :
- rogerbravo
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Re: The Tree of life
Lun 14 Mar 2011 - 15:43
d'apres la bande annonce on c'est pas trop de quoi ca parle mais la mise en scene a l'air terrible!!!
vivement plus d'infos
vivement plus d'infos
- InvitéInvité
Re: The Tree of life
Lun 14 Mar 2011 - 15:47
C'est claire ! Perso pour moi, Brad Pitt et Sean Penn dans le même film c'est suffisant pour que je lache les 9euros de ciné, alors si en plus on a droit à un trailer comme celui là....
- petimax
- Nombre de messages : 1836
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Re: The Tree of life
Lun 14 Mar 2011 - 18:03
Il a l'air pas mal du tout
prevu pour quand ?
prevu pour quand ?
- InvitéInvité
Re: The Tree of life
Lun 14 Mar 2011 - 22:36
A mon avis celui là on le retrouve aux Oscars 2012
Re: The Tree of life
Mar 17 Mai 2011 - 0:28
Et hop le nouveau Terrence Malick hué au festival!!!
REVIEW - Cannes 2011 : Tree of Life : "déception" pour les uns et "maîtrise stratosphérique" pour les autres
16-05-2011 - 18h35 1 commentaire |
REVIEW - Cannes 2011 : Tree of Life : "déception" pour les uns et "maîtrise stratosphérique" pour les autres
C'était le film le plus attendu du festival de Cannes 2011. Le retour d'un cinéaste culte avec un film que tout le monde comparait déjà au 2001 de Kubrick. On a vu Tree of Life. Alors ? Hué par une partie de la salle et (un peu) applaudi, le film a divisé le festival. Et la rédaction.
CONTRE
Quelle déception. Avec Tree of life, Terrence Malick a manqué son 2001, l’odyssée de l’espace. L’épopée métaphysique du réalisateur des Moissons du Ciel, film star de la compétition cannoise cette année, ne comble pas la formidable attente qui s’était créée autour du film. Le film s’ouvre pourtant par un sidérant ballet voltigeant dans l’espace et le temps entre Big-Bang et modernité urbaine, ovules et dinosaures, ciel, terre et mer. Puis la caméra omnisciente de Malick, en mouvement perpétuel, attarde sa folle course cosmogonique sur la chronique tragique d’une famille du Sud des Etats-Unis. Jack, l’aîné d’une fratrie, a un rapport difficile avec son père, incarné par Brad Pitt. Autoritaire, individualiste, chantre de la loi du plus fort, il est l’exact contraire de son épouse, femme d’une grande douceur jouée par Jessica Chastain. Le couple est chargé d’illustrer à l’écran l’antagonisme entre nature et grâce, que Malick va chercher à résoudre en épousant le regard innocent, donc divin, de Jack (joué par Sean Penn à l’âge adulte) le temps d’une longue méditation sur la vie et la mort. Mais le réalisateur ne parvient pas à réitérer le miracle de ses précédents films, qui mêlaient de manière si sublime les destinées tragiques de ses personnages avec l’ordre naturel, via la grâce, qui les transcendaient. En voulant embrasser une sorte de Totalité absolue, l’ambitieuse odyssée familiale et cosmique de Tree Of Life parait paradoxalement repliée sur elle-même, dénuée d’humanité. Comme si, à trop le regarder, Malick s’était extrait du monde.
Par Eric Vernay
POUR
L’un des films les plus attendus au monde , Tree of life va très probablement donner du grain à moudre à tous ceux qui s’apprêtent à brûler Terrence Malick après l’avoir adoré. Sitôt le sujet exposé (comment faire le deuil d’un fils -ou d’un frère, selon le point de vue- mort à l’âge de 19 ans), le film digresse étrangement pendant une vingtaine de minutes avec ce qui ressemble à un montage d’extraits de documentaires naturalistes qui, sans les commentaires mystiques en voix off, évoquent l’idée qu’on se fait d’un trip au LSD. Malick va probablement se faire lyncher pour avoir voulu établir un lien entre ces visions cosmiques et l’histoire qu’il raconte. Elle décrit essentiellement la vie de famille du point de vue du fils aîné, qui souffre encore plus que ses frères de l’autorité écrasante du père (Brad Pitt) . En liant l’infiniment grand et l’infiniment petit, Malick ne fait que proposer une solution mystique au deuil. On peut adhérer ou non. Mais il est difficile de nier la stupéfiante capacité du cinéaste à évoquer l’enfance d’une façon purement sensorielle, avec des moyens purement cinématographiques. Magistralement photographié, le film est traversé de moments fulgurants qui témoignent d’un niveau de maîtrise stratosphérique que plus personne, depuis que David Lynch a pris une semi retraite, n’est actuellement capable d’atteindre.
Par Gérard Delorme
Source Premiere
REVIEW - Cannes 2011 : Tree of Life : "déception" pour les uns et "maîtrise stratosphérique" pour les autres
16-05-2011 - 18h35 1 commentaire |
REVIEW - Cannes 2011 : Tree of Life : "déception" pour les uns et "maîtrise stratosphérique" pour les autres
C'était le film le plus attendu du festival de Cannes 2011. Le retour d'un cinéaste culte avec un film que tout le monde comparait déjà au 2001 de Kubrick. On a vu Tree of Life. Alors ? Hué par une partie de la salle et (un peu) applaudi, le film a divisé le festival. Et la rédaction.
CONTRE
Quelle déception. Avec Tree of life, Terrence Malick a manqué son 2001, l’odyssée de l’espace. L’épopée métaphysique du réalisateur des Moissons du Ciel, film star de la compétition cannoise cette année, ne comble pas la formidable attente qui s’était créée autour du film. Le film s’ouvre pourtant par un sidérant ballet voltigeant dans l’espace et le temps entre Big-Bang et modernité urbaine, ovules et dinosaures, ciel, terre et mer. Puis la caméra omnisciente de Malick, en mouvement perpétuel, attarde sa folle course cosmogonique sur la chronique tragique d’une famille du Sud des Etats-Unis. Jack, l’aîné d’une fratrie, a un rapport difficile avec son père, incarné par Brad Pitt. Autoritaire, individualiste, chantre de la loi du plus fort, il est l’exact contraire de son épouse, femme d’une grande douceur jouée par Jessica Chastain. Le couple est chargé d’illustrer à l’écran l’antagonisme entre nature et grâce, que Malick va chercher à résoudre en épousant le regard innocent, donc divin, de Jack (joué par Sean Penn à l’âge adulte) le temps d’une longue méditation sur la vie et la mort. Mais le réalisateur ne parvient pas à réitérer le miracle de ses précédents films, qui mêlaient de manière si sublime les destinées tragiques de ses personnages avec l’ordre naturel, via la grâce, qui les transcendaient. En voulant embrasser une sorte de Totalité absolue, l’ambitieuse odyssée familiale et cosmique de Tree Of Life parait paradoxalement repliée sur elle-même, dénuée d’humanité. Comme si, à trop le regarder, Malick s’était extrait du monde.
Par Eric Vernay
POUR
L’un des films les plus attendus au monde , Tree of life va très probablement donner du grain à moudre à tous ceux qui s’apprêtent à brûler Terrence Malick après l’avoir adoré. Sitôt le sujet exposé (comment faire le deuil d’un fils -ou d’un frère, selon le point de vue- mort à l’âge de 19 ans), le film digresse étrangement pendant une vingtaine de minutes avec ce qui ressemble à un montage d’extraits de documentaires naturalistes qui, sans les commentaires mystiques en voix off, évoquent l’idée qu’on se fait d’un trip au LSD. Malick va probablement se faire lyncher pour avoir voulu établir un lien entre ces visions cosmiques et l’histoire qu’il raconte. Elle décrit essentiellement la vie de famille du point de vue du fils aîné, qui souffre encore plus que ses frères de l’autorité écrasante du père (Brad Pitt) . En liant l’infiniment grand et l’infiniment petit, Malick ne fait que proposer une solution mystique au deuil. On peut adhérer ou non. Mais il est difficile de nier la stupéfiante capacité du cinéaste à évoquer l’enfance d’une façon purement sensorielle, avec des moyens purement cinématographiques. Magistralement photographié, le film est traversé de moments fulgurants qui témoignent d’un niveau de maîtrise stratosphérique que plus personne, depuis que David Lynch a pris une semi retraite, n’est actuellement capable d’atteindre.
Par Gérard Delorme
Source Premiere
Re: The Tree of life
Dim 22 Mai 2011 - 0:46
Je l'ai vu et j'ai juste pas compris ce que Malick voulait raconter. Je sais que je suis pas un génie, mais je sais aussi que j'ai pas le cerveau d'un mollusque atteint trisomie.
Bref, c'est le stéréotype même du film masturbateur réservé à une élite dont je ne fais (heureusement) pas partie...
Bref, c'est le stéréotype même du film masturbateur réservé à une élite dont je ne fais (heureusement) pas partie...
- kojak
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Age : 42
Date d'inscription : 12/08/2010
Re: The Tree of life
Dim 22 Mai 2011 - 13:20
Sarlacc a écrit:Je l'ai vu et j'ai juste pas compris ce que Malick voulait raconter. Je sais que je suis pas un génie, mais je sais aussi que j'ai pas le cerveau d'un mollusque atteint trisomie.
Bref, c'est le stéréotype même du film masturbateur réservé à une élite dont je ne fais (heureusement) pas partie...
comme t es dur!^^
- skualman
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Localisation : Angers
Date d'inscription : 28/12/2005
Re: The Tree of life
Dim 22 Mai 2011 - 13:56
kojak a écrit:Sarlacc a écrit:Je l'ai vu et j'ai juste pas compris ce que Malick voulait raconter. Je sais que je suis pas un génie, mais je sais aussi que j'ai pas le cerveau d'un mollusque atteint trisomie.
Bref, c'est le stéréotype même du film masturbateur réservé à une élite dont je ne fais (heureusement) pas partie...
comme t es dur!^^
- legollum74
- Nombre de messages : 18587
Date d'inscription : 31/12/2005
Re: The Tree of life
Lun 23 Mai 2011 - 12:30
et oui hué quoi
Re: The Tree of life
Mer 25 Mai 2011 - 19:18
Moi aussi il me tentait grave...
Regarde-le pour te forger ton opinion...
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- BBLACKWOLF
- Nombre de messages : 3991
Age : 56
Localisation : Thaïlande
Date d'inscription : 03/01/2007
Re: The Tree of life
Jeu 26 Mai 2011 - 15:13
Sarlacc a écrit:Je l'ai vu et j'ai juste pas compris ce que Malick voulait raconter. Je sais que je suis pas un génie, mais je sais aussi que j'ai pas le cerveau d'un mollusque atteint trisomie.
Bref, c'est le stéréotype même du film masturbateur réservé à une élite dont je ne fais (heureusement) pas partie...
C'est une obsession cher toi
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